Articles dans des revues à comité de lecture

  • Peut-on s’affranchir de la norme dans l’étude des pratiques informationnelles d’actualité ? Le cas d’une enquête auprès d’étudiant⋅e⋅s Avec Valérie Croissant, Simon Gadras, Isabelle Hare, Annelise Touboul. Publié dans Études de communication, n° 61, 2023. DOI : 10.4000/edc.16138 En accès restreint sur CAIRN
    Les pratiques informationnelles des jeunes ont été ou sont régulièrement étudiées, questionnées et mobilisées par de nombreux acteurs de la société, pouvoirs publics, chercheur.es, monde associatif et médias. Cette contribution resserre la focale sur le public jeune et universitaire, étudiant dans le domaine des sciences humaines et sociales, et s’intéresse à leurs pratiques informationnelles de l’actualité. Elle étudie la façon dont ces étudiant⋅e⋅s consomment l’information d’actualité à travers le regard qu’ils et elles portent sur leurs propres pratiques. In fine, l’article pose l’hypothèse centrale que leur rapport à l’information d’actualité et à sa consommation serait le fruit d’ajustements incessants entre différentes pratiques et apprentissages normés (éducation aux médias, environnement familial et amical, etc.).
  • What Do We Call an "MP"? On Categories of Thought in the Anthropology of Parliaments Publié dans Parliamentary Affairs, 2023. DOI : 10.1093/pa/gsad021 En accès restreint sur le site de la revue
    Cet article interroge ce que les chercheurs en sciences sociales entendent par le terme de "député" ("MP") et explique qu'ils ont tendance à l'associer à une conception universelle de la représentation parlementaire. L'auteur commence par présenter la raison de ce présupposé qui réside dans la résistance des études législatives aux approches interprétatives, et en montre les limites. Il défend ensuite la nécessité, pour une connaissance scientifique approfondie des assemblées délibératives, de distinguer les sens vernaculaires de la notion de "député" et son sens analytique. Enfin, il prend l'exemple de ses propres recherches en France pour montrer les difficultés concrètes d'une conception singulière de la représentation parlementaire et exposer les vertus du recours à des idéaux-types empiriques pour les surmonter.
  • Open digital infrastructures for bridging professional cultures: the case of extreme citizen science between journalism and research Avec Alessia Smaniotto. Publié sur Open Research Europe, 2023. DOI : 10.12688/openreseurope.15262.1 En accès libre sur la plateforme
    Dans cet article, nous proposons de considérer les projets de science citoyenne comme des collaborations interprofessionnelles. Nous nous concentrons d'abord sur une étude de cas - le projet PLACES - mettant en œuvre trois collaborations de "science citoyenne extrême" entre des chercheurs en sciences sociales et des journalistes. Nous montrons ensuite qu'afin de permettre des collaborations réussies, les participants doivent être soutenus dans l'alignement de leurs pratiques professionnelles, de leurs objectifs et de leurs façons de formuler l'objet de recherche. Dans la deuxième partie, à partir d'un autre projet (COESO), nous montrons comment des infrastructures dédiées, comprises comme des écosystèmes sociaux et techniques, peuvent soutenir la création de communautés de pratique, comblant ainsi le fossé entre les cultures professionnelles des personnes impliquées dans les projets de science citoyenne. Une autre condition essentielle du succès des projets de science citoyenne extrême repose sur la gouvernance des projets, qui peut être influencée par la conception des infrastructures.
  • Désincarner le Corps législatif. Représenter, délibérer et voter à distance en temps de crise Publié dans Condition humaine / Conditions politiques, n° 3, 2022. DOI : 10.56698/chcp.704 En accès libre sur le site de la revue
    Cet article s’intéresse au caractère effectif de la représentation parlementaire dans l’hypothèse où les députés délibéreraient et voteraient à distance, s’ils étaient dans l’incapacité de rejoindre le palais Bourbon. Si de telles pratiques sont encore en germe aujourd’hui, elles sont toutefois appelées à prendre rapidement leur essor, si l’on en croit les députés qui les promeuvent, en raison des garanties d’efficacité et de résilience qu’elles offriraient au pouvoir législatif. On peut cependant considérer, et c’est l’argument défendu ici, que le développement à venir de l’usage des outils de travail à distance dans la vie parlementaire répond surtout au souhait d’une nouvelle génération de députés de recentrer leurs activités au niveau local. Cet article envisage en ce sens l’émergence d’une nouvelle doctrine concernant les manières de « faire assemblée » dans la France du xxie siècle ou, à tout le moins, une évolution des conditions de réalisation de l’idéal démocratique.
    Le magazine Sciences Humaines a consacré quelques paragraphes à cet article, dans son numéro de juillet 2022.
  • L’identité numérique de l’ethnographe. Analyse réflexive et stratégies d’enquête dans les terrains multiplexes Publié dans Terminal. Technologie de l'information, culture & société, n° 129 « Explorer les méthodes en ligne pour des terrains hors ligne », 2021. DOI : 10.4000/terminal.6883 En accès libre sur le site de la revue
    J’expose dans cet article les enjeux épistémologiques et méthodologiques que posent aux ethnographes les mondes sociaux où les modalités d’articulation entre les sociabilités en ligne et hors ligne ne font pas l’unanimité parmi les acteurs sociaux, au point de générer des controverses. Dans ce type de terrain, caractérisé par une « multiplexité dynamique », les logiques interactionnelles sont contradictoires et mouvantes, ce dont l’ethnographe doit tenir compte pour mener son enquête. En prenant pour exemple mon terrain à l’Assemblée nationale française entre 2007 et 2019, je montre que l’enquêteur gagne à agir de la même manière que ceux qu’il étudie, en adoptant une posture réflexive quant à son « identité numérique » et en usant de celle-ci pour développer des stratégies destinées à contourner les rigidités que certaines règles de sociabilités locales imposent à ses investigations. Plus largement, cet article entend sensibiliser les étudiants et les chercheurs sur la nécessité de prêter une attention soutenue à leurs propres pratiques numériques lorsqu’ils engagent un travail de terrain, que ce dernier porte sur la question numérique ou non, tant il est probable qu’elles influeront sur l’enquête.
  • Le vote électronique à l’Assemblée. Prévenir et contenir la panne en République Publié dans Techniques & Culture [En ligne], Suppléments au n° 72 « En cas de panne », 2019. DOI : 10.4000/tc.13224 En accès libre sur le site de la revue
    Le système de vote électronique utilisé par les parlementaires de l’Assemblée nationale fait aujourd’hui l’objet d’une attention minutieuse, attendu qu’il ne doit faillir sous aucun prétexte. Pourtant le règlement de l’institution dispose de modalités de vote applicables en cas de dysfonctionnement. Dans cet article, je m’interroge sur les deux faits présentés ci-dessus, antinomiques en apparence. Pourquoi cette quête impérative de fiabilité s’il existe une manière alternative de voter ? Inversement, pourquoi cette disposition réglementaire si ce système ne peut défaillir ? Dans l’ensemble, cet article aborde à la fois les représentations culturelles entourant un dispositif technique lorsque le fonctionnement de l’appareil d’État repose sur lui, et les conditions de possibilité de cette fiabilité technique.
  • Les téléphonistes de la Chambre. Infrastructure de communication et division du travail au Palais Bourbon sous la Troisième République Publié dans la Revue française de science politique, vol. 67, n° 4, 2017, p. 653-673. DOI : 10.3917/rfsp.674.0653 En accès libre sur HAL
    Cet article traite des transformations du métier de député en France durant la IIIe République, engendrées par l’installation du téléphone et la création d’un service chargé de son exploitation au Palais Bourbon, à partir de 1881. L’analyse des archives historiques de la questure de la Chambre montre que, en raison de différentes contraintes, l’appropriation de ce moyen de communication a été singulière, au sens où elle a pris la forme d’un usage par délégation. Plutôt que de téléphoner eux-mêmes, les députés se sont en effet peu à peu déchargés de leurs appels sur les téléphonistes, inaugurant des modalités inédites de division du travail parlementaire. La formalisation des usages du téléphone chez les députés illustre alors la rationalisation du parlementarisme français au début du XXe siècle.
    La revue Techniques & culture a publié sur son blog un compte-rendu de cet article en avril 2018.
  • Twitter et les relations de séduction entre députés et journalistes. La salle des Quatre Colonnes à l’ère des sociabilités numériques Publié dans Réseaux, n°188, vol. 6, 2014, p. 201-228. DOI : 10.3917/res.188.0201 En accès libre sur HAL
    Ce texte entend décrire la manière dont Twitter s’insère, aujourd’hui en France, au centre du jeu d’influence qui réunit les députés et les journalistes dans la production de l’actualité politique. L’analyse montre comment les nouveaux usages médiatiques que permet ce média sont l’occasion pour les députés de s’émanciper d’une institution parlementaire historiquement soucieuse de contrôler au plus près la visibilité médiatique des activités qu’elle accueille. Néanmoins, si cette dynamique participe d’un désenclavement dans les relations entre la presse et l’Assemblée, les modes d’interaction entre députés et journalistes dans cet espace ne se distinguent pas significativement de ceux en vigueur en salle des Quatre Colonnes.
    Le magazine Sciences Humaines a consacré quelques paragraphes à cet article, dans son numéro de juin 2015.

Chapitres d'ouvrages collectifs

  • Inhabiting the Palais Bourbon together: Sharing, allocating and regulating parliamentary space among its multiple users at the French National Assembly Publié dans Psarra S., Staiger U. & Sternberg C. (dir), Parliament Buildings: The architecture of politics in Europe, Londres, UCL Press, 2023. En accès libre sur HAL (à venir)
    Ce chapitre s'intéresse à la manière dont l'Assemblée nationale française tire parti des bâtiments dans lesquels elle siège - le Palais Bourbon - pour donner une existence matérielle à l'idéal de souveraineté populaire. Mon premier objectif est d'exposer comment(selon quelle logique, dans quel but et avec quels moyens) l'institution parlementaire distribue dynamiquement l'occupation de ce lieu entre ses différents usagers et en régule les usages. Je montre au final que l'Assemblée habite aujourd'hui le Palais Bourbon d'une manière qui affirme et promeut une vision particulière de la représentation nationale, aux racines historiques lointaines, au travers notamment d'une politique d'accueil du public qui renforce la position du public comme spectateur du travail parlementaire et celle des députés comme seuls acteurs légitimes des débats.
  • Représenter les citoyens à distance : l’avenir du mandat de député est-il en télétravail ? Publié dans Senik C. (dir), Le travail à distance. Défis, enjeux et limites, Paris, La Découverte, 2023. En accès libre sur HAL
    Ce chapitre expose la position historiquement ambiguë de l’Assemblée nationale sur la question du télétravail des députés et des députées, en le favorisant autant que possible lorsqu’ils et elles siègent à Paris pour faciliter la communication avec les circonscriptions, mais en le freinant dans le même temps au maximum en sens inverse pour ne pas inciter à l’absentéisme dans l’hémicycle. Au cours de la 15éme législature de la Vème République (2017-2022) et la crise pandémique de 2020, le télétravail des députés et des députées depuis les circonscriptions a été expérimenté, si bien qu’il est devenu non seulement envisageable, mais aussi souhaitable en certaines circonstances. La question se pose à présent de sa généralisation en hors situation de crise, ce qui fait l’objet de sentiments contradictoires. Pour celles et ceux qui possèdent une position de force à l’Assemblée, il serait une menace pour la démocratie, tandis que pour les autres il constituerait au contraire un moyen de restaurer une égalité de représentation entre les territoires de la République.
    Ce chapitre a été financé par la bourse d'appui 2022 de la Fondation des Sciences sociales.
    Le journal Le Monde a consacré un article à ce chapitre, dans son numéro du 26 mai 2023.
  • Une métaphore digestive de la réflexivité. Ethnographie, épistémologie(s) et écriture Avec Fred Pailler.Publié dans Quidu M. (dir), Épistémologie du corps du savant (tome I). Le chercheur et la description scientifique du réel, Paris, L’Harmattan, 2014, p. 219-239. En accès libre sur HAL
    Ce texte discute la manière dont l'exercice de réflexivité, en anthropologie et en sociologie, est aujourd'hui devenu un savoir-faire fourni par l'institution universitaire à ses étudiants. Ce savoir-faire n'a pourtant pas aidé les auteurs à explorer leurs propres terrains de thèse, bien au contraire, l'exercice les a mené à maintes confusions et incompréhensions. Une succession de décalages avec leurs expériences respectives sont identifiés ici,  et certains postulats théoriques sont interrogés. L'exercice de réflexivité est alors reformulé dans des termes qui donnent une légitimité à des formes d'écriture hors-protocole, et impose de tenir compte de la lenteur et du caractère situé, donc non-reproductible, du processus de production du savoir. Une telle formulation conduit à associer étroitement les enjeux méthodologiques et les enjeux rencontrés sur le terrain ce qui, selon les auteurs, engendre un rapport différent à l'énonciation scientifique.
  • Un « appeau à journaliste » pour les députés, ou Twitter comme antichambre à la publicité parlementaire Publié dans Zlitni S., Liénard F., Dula. D et Crumière C (dir.), Communication électronique, cultures et identités, Le Havre : Éditions Klog, 2014, p. 371–378. En accès libre sur HAL
    Ce texte est l’occasion de faire un premier point sur une réflexion concernant l’usage de la plateforme de micro blogging Twitter à l’Assemblée nationale française. L’analyse des dates d’ouverture des comptes des députés, depuis 2008, montre une dynamique d’appropriation structurée en trois périodes principales, auxquelles correspondent des logiques d’usages spécifiques. Au terme de ce processus, en septembre 2012, lors de l’ouverture de la quatorzième législature, Twitter constitue un espace médiatique incontournable, ce qui suggère l’hypothèse d’une reconfiguration des relations en députés et journalistes. De fait, Twitter paraît constituer une émanation de la salle des Quatre colonnes, en ligne, donc ouverte et à l’effet démultiplié.
  • Du logiciel libre pour l'Assemblée Nationale. Liberté du code versus liberté des usages Publié dans Paloque-Berges C. et Masutti C. (dir), Histoires et cultures du Libre. Des logiciels partagés aux licences échangées, Framabook, Paris, 2013, p. 461-485. En accès libre sur HAL
    Fin 2006, l’Assemblée nationale française choisi de doter pour la treizième législature de logiciels exclusivement libres les postes informatiques des bureaux parlementaires. Le récit de l’évolution du projet de sa conception jusqu’à sa réalisation, puis à son déploiement auprès des utilisateurs, illustre quelles attentes cette technologie a suscité durant la décennie 2000-2010, et donc les défis qui se sont imposés à eux. Le fait est que le projet n’a pas été à la hauteur des attentes initiales : par la souplesse qu’il apporte dans la conception des systèmes spécifiques, le logiciel libre s’est davantage adapté aux contraintes des commanditaires plutôt qu’à celles des usagers. Paradoxalement, la mise en œuvre de ce projet a conduit au final à ce que les députés perçoivent le logiciel libre comme étant coercitif et anachronique.

Rapports de recherche

  • Journalistes et chercheurs mènent l'enquête. Étude de trois collaborations interprofessionnelles Avec Alexandra Caria.Rapport de recherche du projet PLAteforme Collaborative pour les Enjeux Sociétaux (PLACES), Paris : OpenEdition Center, décembre 2020. En accès libre sur HAL
    Le projet PLACES a eu pour ambition de formuler une proposition nouvelle pour répondre aux enjeux de la mise en public des sciences dans le contexte marqué par le phénomène de désinformation massive que connaissent aujourd’hui les sociétés démocratiques. Les journalistes et les chercheur.e.s tendent en effet à assurer deux rôles distincts et successifs, ce qui engendre un cloisonnement des pratiques professionnelles et constitue un obstacle à une bonne compréhension des enjeux de société. Pour expérimenter une collaboration renouvelée entre ces deux mondes professionnels, le projet PLACES les a invités à être co-acteurs du processus de la production du savoir et ainsi à prendre part à une démarche de science citoyenne. Trois enquêtes expérimentales ont été élaborées en ce sens, rassemblant chacune un.e journaliste et un.e chercheur.e en sciences humaines et sociales, dans le but de mettre à l’épreuve ces collaborations et d’en observer les obstacles comme les richesses. Dans ce rapport qui restitue les résultats de la recherche, les auteurs décrivent ces partenariats ainsi que les différents ajustements de pratiques occasionnés. Ils synthétisent et problématisent les défis rencontrés et, finalement, émettent des préconisations en vue de la création d’une plateforme destinée à soutenir ce type de collaboration interprofessionnelle.

Thèse de doctorat

  • « L'Assemblée du 21e siècle ». Anthropologie et histoire des infrastructures de communication d'une institution politique d'État Sous la direction de Marc Abélès, EHESS, soutenue le 29 juin 2019. Fiche de présentation détaillée sur Theses.fr et sur HAL. Le manuscrit n'est pas disponible en ligne mais peut être envoyé sur demande.
    Cette thèse pose la question de la transformation d'une institution politique d'État, l'Assemblée nationale française, du fait de l’apparition des technologies de communication électriques et numériques depuis la fin du XIXe siècle. Avec pour hypothèse que l’évolution des moyens de communiquer pourrait avoir engendré une évolution des modalités d’existence des États modernes, elle s’inscrit dans une anthropologie politique et technique dont le projet est de décrire le changement de l’ordre social. Afin de vérifier cette assertion, une enquête ethnographique a été entreprise au Palais Bourbon à Paris, avec pour objet d’étudier l’infrastructure parlementaire. Un travail aux archives de l’administration de l’Assemblée a été menée en parallèle, afin de conférer une profondeur historique aux observations réalisées in situ. Cinq études de cas ont été réalisées, qui sont autant de chapitres de ce manuscrit, qui tendent ensemble à montrer que depuis la fin du XIXe siècle, l’Assemblée s’est tout autant transformée qu’elle est restée immuable, ceci afin de préserver certains de ses principes fondateurs.
    La revue Le Temps des Médias (n° 33) a publié un résumé de cette recherche dans sa rubrique Positions de thèses.

Notices de dictionnaires

  • Parlementaires et médias sociaux Publié dans Connil D., Jensel-Monge P., Montis A. (dir), Dictionnaire encyclopédique du Parlement, Éditions Larcier-Bruylant, Paris, 2023. En cours de publication, à venir prochainement
  • Démocratie numérique Publié dans Théviot A. (dir), Petit dico critique du big data, FYP Éditions, Paris, 2023. En cours de publication, à venir prochainement

Comptes-rendus

  • Emma Crewe (2021), « The Anthropology of Parliaments. Entanglements in Democratic Politics » Publié dans Redescriptions: Political Thought, Conceptual History and Feminist Theory, août 2022. En accès libre sur le site de la revue
  • Alain Caillé (2014), « Anti-utilitarisme et paradigme du don. Pour quoi ? » Publié dans Lectures, novembre 2014. En accès libre sur Lectures.org
  • Michel Naeples (2013), « Conjurer la guerre. Violence et pouvoir à Houaïlou (Nouvelle-Calédonie) » Publié dans Lectures, juin 2013. En accès libre sur Lectures.org
  • Jean-Loup Amselle (2012), « L’anthropologue et le politique » Publié dans Lectures, novembre 2012. En accès libre sur Lectures.org
  • Alexandre Coutant (2012), « Internet et politique » Publié dans Lectures, juin 2012. En accès libre sur Lectures.org
  • Elénie Mitropoulou, Nicole Pignier (dir.) (2012), « De l’interactivité aux interaction(s) médiatrice(s) » Publié dans Lectures, avril 2012. En accès libre sur Lectures.org
  • Bernard Traimond (2012), « Penser la servitude volontaire. Un anthropologue de notre présent, Gérard Althabe » Publié dans Lectures, février 201 En accès libre sur Lectures.org